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Le blogueur – apprendre, découvrir, s’informer, promouvoir.

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VOTRE FEUILLETON SUR LE BLOGUEUR 2ème épisode

AGNES ET SA MIE

Comme tous les dimanches, ou presque, Agnès se préparait pour aller dîner chez sa tante. Aujourd’hui elle faisait un effort tout particulier dans le choix de ses vêtements car c’était un dimanche particulier… Le deuxième dimanche de mai, jour de la fête des mères.

Sa tante, la sœur de sa mère, l’avait élevée, choyée, et entourée de sa tendresse et de sa présence. Sa vraie mère était partie alors qu’elle n’avait pas encore 10 ans et en partant, elle n’avait rien laissé pour elle. Elle n’avait jamais écrit. Elle ne s’était jamais manifestée. Sa mère l’avait tout bonnement abandonnée, ne lui laissant comme héritage que son nez. Elle détestait son nez. Pourtant, aucun des quatre médecins qu’elle avait consulté n’avait accepté de l’opérer. Au contraire, chacun d’eux s’était lancé dans une plaidoirie passionnée destinée à la convaincre que son nez était parfait!

Que se serait-il passé pour elle, si Mie n’avait pas existé. Sans elle, elle aurait passé une enfance dans des familles d’accueil et elle n’osait pas imaginer ce qu’elle serait devenue. Elle ne pouvait, ni ne voulait rien reprocher à Mie qui l’avait élevée comme sa propre fille et avec laquelle elle n’avait manqué de rien… Surtout pas d’affection. Alors pourquoi ne pouvait-elle pas trouver le repos de l’esprit. Pourquoi fallait-il toujours que la tristesse reprenne le dessus en lui rappelant qu’elle était une enfant abandonnée par sa mère. Comment pouvait-on s’aimer lorsqu’on savait n’avoir aucune importance pour celle qui nous a mis au monde ? Comment pouvait-on abandonner la chair de sa chair sans plus jamais y penser ? Aujourd’hui c’était la fête des mères et Agnès pensait à sa douleur tout en se préparant à aller fêter sa maman de cœur… Sa seule véritable mère. Que de contradictions ! Mais la vraie vérité c’est qu’elle adorait sa tante et qu’elle ne ferait jamais rien qui pourrait la blesser.

Une fois encore, en marchant dans la rue où vivait Mie, elle ressentait cet étrange malaise. Elle trouvait que les habitants de cette petite rue étaient tous un peu bizarres. Ce quartier était habité par des personnages tellement atypiques. Cela lui donnait les frissons. Tu devrais déménager, Ma Mie, lui disait-elle à chacune de leur rencontre. Pourquoi ne viendrais-tu pas t’installer dans mon quartier.

  • Agnès, arrête de m’ennuyer avec ça ! Tu habites à deux pas d’ici… Nous vivons dans le même quartier. Pour être plus près encore, il faudrait que je vienne m’installer dans ton salon !
  • Je sais, mais que veux-tu, je trouve que tu as des voisins qui ont l’air méchants ou psychopathes. Je n’aime pas te savoir entourés par ces êtres aux allures louches.
  • Et pourtant, ma chérie, tu dois bien avouer qu’il ne se passe jamais rien dans ma rue qui puisse éveiller des inquiétudes.
  • Peut-être mais, le petit nain qui habite au coin de la rue ne m’inspire que de la crainte et de la méfiance.
  • Ma chérie, tu t’égares. Tu juges à l’apparence. Fais attention. Que dirais-tu de tant d’incompréhension si tu étais toi aussi laide et difforme ?

Avec sa tante,  aucune conversation n’échappait aux grands sujets humanitaires : la tolérance, le respect des autres,  la charité. C’était une femme profondément bonne et Agnès l’aimait. Il lui semblait que sa tante avait reçu la bonté, la tolérance et le respect qu’aucun être rencontré jusqu’ici ne possédait. Sa tante était une sainte faite de sagesse et de générosité.

En mettant son chemisier blanc, qu’elle n’utilisait que lors d’occasion importante, elle sentit remonter ce souvenir, unique et fort, souvenir de la dernière fois où elle avait vu sa mère. Souvenir qui la hantait depuis toujours. Elle avait à peine 10 ans et ce jour-là,   sa maman accepta de l’emmener à la fête foraine. Elle mangeait une pomme d’api en regardant le beau sourire de sa maman. Elle gardait d’elle le souvenir d’une femme d’une beauté éclatante. Ce nez, dont elle avait hérité, lui allait bien à elle ! Ce qui est beau une fois, ne l’est pas forcément deux !

Décidément, elle ne s’en sortait pas. Chaque fois qu’elle fêtait sa Mie elle ne pouvait éviter de penser à sa vraie maman. Elle avait acheté une bague en or pour cette fête. Mie méritait bien plus, mais l’amour ne se mesure pas au prix des cadeaux.

Arrivée au coin de la rue, elle aperçut le petit gnome qui sortait de chez lui. Elle frissonna. Puis, elle remarqua la femme blonde qui habitait la maison d’à côté. Elle semblait espionner l’étrange bonhomme. Que pouvait-elle bien chercher ? Plus loin elle aperçut un homme qui devait avoir à peu près son âge et qui tenait un bouquet de pivoines rouges à la main. Allait-il offrir ses fleurs à sa femme, à sa mère, ou comme elle… à sa tante ? Elle éprouva de la sympathie pour ce nouveau venu. En effet, elle ne l’avait jamais vu dans le quartier et elle trouvait que celui-ci, au moins, avait un aspect parfaitement sympathique.

En arrivant chez sa tante, la porte était entre ouverte et sa Mie hurlait au téléphone…

  • Qu’est-ce qui t’empêche de rentrer ? Tu es la bienvenue ici. Mais non, ne dis pas ça. Qu’est-ce que tu dis ? Je n’entends pas. Ah, je crie trop fort ! Allo ? Allo ?
  • Bonjour, Ma Chérie. Joyeuse fête des mères ! Tu as vu ce beau temps ?
  • Heuh ! Ça va toi ? Avec qui hurlais-tu au téléphone ?
  • Bonjour Agnès. Oui ça va. Merci.

Elle avait répondu machinalement, elle était absente. C’est à peine si elle l’avait remarquée. Elle semblait réellement troublée. En fait elle était troublée. Elle passa devant Agnès sans même l’embrasser, sans lui parler du menu du jour dans le détail, comme à son habitude.

Elle passa devant Agnès et se dirigea vers le petit secrétaire qui se trouvait dans sa chambre à coucher. Elle semblait bouleversée… Comme si elle venait de perdre tout ce qu’elle possédait. Puis elle ouvrit un tiroir et en tira une clé, avant d’ouvrir le petit coffre en bois, d’une finesse et d’une beauté incroyable.

Agnès avait reçu ce coffret en cadeau lorsqu’elle travaillait comme secrétaire dans une menuiserie. C’était Jérôme qui le lui avait offert. Elle n’avait compris que plusieurs jours après l’avoir reçu, que Jérôme était un artiste et qu’il était le créateur de ce magnifique objet. C’était lui qui l’avait fait en dehors de ses heures de travail. Jérôme était un garçon silencieux et elle avait cru pendant quelques semaines qu’il était attiré par elle. Malheureusement, il ne l’avait plus jamais contactée après qu’elle l’ait invité à sa fête d’anniversaire. Elle avait accepté le cadeau et commis ce jour-là une belle gaffe en lui disant qu’elle la donnerait à sa mère qui adorait les boîtes. Elle n’avait pas compris l’importance que ce cadeau avait pour Jérôme et elle l’avait payé en subissant dès ce jour, toute son indifférence.

Agnès se tenait devant l’encadrement de la porte et regardait sa tante, comprenant qu’elle ressentait une vive émotion. Elle ouvrit la boîte avec douceur et en sortit une photo, puis une autre. Elle choisi la seconde et après l’avoir longuement regardée elle l’a serra contre son cœur.

Agnès s’approcha et pris dans ses mains avec tendresse, les épaules de sa tante.

  • Que se passe-t-il Ma Mie ?
  • Tu es triste ?  Tu penses à l’homme que tu as tant aimé ?
  • Avec qui étais-tu au téléphone ? C’était ma mère, n’est-ce pas ?

Elle hocha la tête et Agnès sentit ses jambes se dérober sous elle. Elle serra les dents. Sa mère était au bout du fil, au bout du monde… Au bout du rouleau, peut-être ?

  • Qu’est-ce qu’elle voulait ? Mie, s’il te plaît, dis-moi ce qu’elle voulait.
  • Je ne sais pas. Je n’ai pas bien compris. Je crois qu’elle veut revenir au pays. Je lui ai dit qu’elle était la bienvenue et puis ça a coupé !
  • Tu lui a dit qu’elle était la bienvenue ? Mais tu es folle ou quoi ? Tu as perdu la mémoire ? Je ne veux pas la voir, moi ! Je m’en fous de cette mère absente et égoïste. Elle se casse pendant 18 ans sans jamais donner signe de vie et maintenant elle veut revenir, la bouche en cœur, et chez toi en plus ? Tu as oublié qu’elle est partie en m’abandonnant à ta charge et en te piquant l’homme de ta vie ? Elle t’a volé tout ce que tu aimais et elle t’a laissé sa fille, pour te priver de ta liberté et toi… Toi tu lui dit : tu es la bienvenue !
  • Agnès… Calmes-toi. Et ne dis pas des mots que tu pourrais regretter. Crois-tu vraiment que parce que nous n’avions pas de nouvelles, ma sœur nous a oubliée ? Que sais-tu, que savons-nous de sa souffrance, de ses chagrins ? En me confiant sa fille, ma sœur m’a fait le plus beau cadeau qu’on ne m’ait jamais fait.
  • Ouais, c’est ce que tu dis… Montres-moi cette photo ! Allez, montres-moi l’image de l’homme que tu as pleuré toute ta vie et que tu regrettes encore. Tu regardes cette photo avec tant d’amour. Tout cet amour dont tu as été privée… Ton Grand Amour… Elle te l’a volé. Ne l’oublie pas ma Mie.
  • Tu te trompes, ma Chérie, tu te trompes sur mes choix et mes amours. Je n’ai pas été privée d’Amour. Bien au contraire.
  • Montres-moi cette photo.
  • C’est inutile. Ça ne changera rien.
  • Montres, je te dis… Et elle lui arracha la photo des mains.
  • Les yeux d’Agnès se remplirent de larmes… Quelle idiote ! Sa Mie ne regardait nullement la photo d’un amour perdu. Comment pouvait-elle être si dure, si stupide, si méchante ? Comment n’avait-elle pas compris, après toutes ses années, que Mie était sa seule vraie Mère ? Sur la photo qu’elle tenait dans les mains, une petite fille souriait en mangeant une pomme d’api… c’était le jour de son souvenir récurant !

Pourtant, elle ne se souvenait pas d’avoir été prise en photo ce jour-là.

Elle serra sa Mie dans ses bras. Maman, je t’aime.

 

Artisan du mot #vevey #Montreux #rédaction http://mine-de-rien.ch/

Vous pouvez également suivre le feuilleton sur http://mine-de-rien.ch/186-2/

 

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VOTRE FEUILLETON SUR LE BLOGUEUR 1er épisode

Virgile et Wu

L’homme était avare petit et laid. Il avait un aspect froid et un regard cruel. Il ressemblait à ces petits gnomes inquiétants et hors du temps, destinés à faire peur aux enfants sages. Sa sœur aînée, une blonde répondant au prénom peu courant pour une suissesse de Wu, se cachait pour l’observer, derrière la haie qui séparait leurs deux maisons. Elle savait bien que son frère avait de bonnes raisons d’être déçu par les êtres humains… Par tous les êtres humains, sans exception. Le malheur l’avait frappé avec dureté et Wu s’en souvenait dans les moindres détails. Elle portait sa culpabilité avec fierté et son chagrin avec discrétion. Elle ne comprenait pas pourquoi son frère persistait à refuser tout contact avec elle alors que leur père était mort depuis longtemps maintenant. Elle ne comprenait pas pourquoi il la rendait responsable à part entière de son malheur, elle qui avait souffert de la méchanceté de leur père au moins autant que lui. Mais son frère avait toujours nié sa souffrance pour ne voir que la sienne. Les hommes sont égoïstes.

Elle n’avait jamais vraiment aimé son mari. Les hommes ne lui inspiraient que crainte et méfiance. Toutefois, pour prévenir la solitude elle avait accepté cette union. Pendant la courte durée de son mariage, elle avait cru à une réconciliation possible avec son frère. Elle l’avait espéré de tout son cœur.  Son frère et son mari avaient fait connaissance grâce à l’entêtement dont elle avait fait preuve pour les obliger à se rencontrer. Dès leur premier contact,  ils avaient sympathisé et ils se retrouvaient deux à trois fois par semaine, sans elle, bien sûr. Ces rencontres, qu’elle avait vus d’un bon œil au début,  s’étaient révélées des prétextes à beuveries et finissaient, la plupart du temps, par une cuite monumentale.

A son retour il était complètement ivre, titubant et suant, rentrant à la maison avec une seule idée en tête. Il voulait la prendre sans ménagement et il ne tolérait pas qu’elle s’y refuse. Elle essayait par tous les moyens d’éviter le contact. Sa parade principale était de simuler le sommeil. Il s’approchait d’elle en respirant fort. Son haleine était insupportable et son comportement bestial. Elle n’avait alors que deux solutions,  ou elle se soumettait en écartant docilement les jambes et en supportant la violence et la mauvaise odeur ou il la battait comme plâtre. La plupart du temps,  elle écartait les jambes et fermait les yeux tout en retenant son souffle, ce qui lui permettait de ne pas trop souffrir de l’odeur écoeurante du whisky avalé et qui ne demandait qu’à ressortir par tous les moyens et par tous les pores.

Avant son divorce, elle chercha le soutien de son frère. Un jour, elle décida d’aller le voir. Elle s’habilla sobrement, se coiffa discrètement et prépara une tarte aux cerises pour la lui offrir en signe de paix. Elle espérait que ses problèmes auraient peut-être pour effet d’adoucir son frère à son égard et qu’enfin ils pourraient se retrouver et parler tous les deux de leur si misérable destin. Elle espérait pouvoir exorciser le mal que son père leur avait fait… Mais, pour une raison mystérieuse, elle était convaincue qu’aucun d’eux ne s’en sortirait jamais sans l’aide de l’autre. Peut-être que dans ce cas il ne s’agissait pas d’aide mais bien de Pardon.

Elle sortit de chez elle une heure après le départ de son mari au  boulot. Juste le temps de préparer en douce, une tarte aux cerises pour son frère. Elle passa devant la haie en jetant un coup d’œil. Son frère était à la maison. Il y avait de la lumière à la cuisine. Son cœur battait à tout rompre en franchissant le portail et en traversant le jardin. Elle posa la main sur la sonnette et attendit. La porte s’ouvrit très vite.

  • Qu’est-ce que tu veux ? Lui dit-il lorsqu’il l’aperçut devant sa porte.
  • Je peux entrer ? Je voudrais parler un peu avec toi. Je t’ai apporté une tarte aux cerises.
  • Arrête avec tes courbettes… Poses la tarte sur la table et va-t’en, je la mangerais plus tard.
  • Tu ne changeras jamais. Avare tu es et avare tu resteras.
  • Fallait rien m’apporter si c’est pour le regretter.
  • Je suis ta sœur, cesses de me parler comme à ta pire ennemie. Je suis venue te demander un service.
  • Un service ! Un service ! Je ne veux même pas savoir ce que tu veux. Jamais je ne t’aiderais. Plutôt crever.
  • Mais comprendras-tu enfin que je n’avais pas le choix. C’est papa qui décidait de tout. Comment voulais-tu que je fasse ?
  • Tais-toi, menteuse, hypocrite, lâche…Je mangerais la tarte et maintenant disparais. Je rendrais la plaque à ton mari.
  • Mais laisse-moi parler avant de me foutre à la porte. Mon mari se saoule avec toi et quand il rentre à la maison,  il est odieux et il me frappe. Un jour il va me tuer et tu auras ma mort sur la conscience.
  • Conscience ? ça te va bien de parler de conscience, toi qui n’en n’a jamais eue. Même si je t’assassinais de mes propres mains, ma conscience serait toujours plus légère que la tienne, chienne ! Vous m’avez méprisé, ridiculisé, humilié et comme si ça ne suffisait pas, vous m’avez jeté en pâture à ces médecins sans scrupule qui ont fait de moi ce que je suis aujourd’hui… Un monstre ! Vous avez fait mon malheur. Tu t’es trompée ma sœur… Bien que je n’aie que la peau sur les os… j’ai un cerveau. Vous m’avez cru fou et débile parce que j’étais laid et fragile… Mais rien ne m’a échappé et surtout, je n’ai rien oublié.
  • Virgile tu ne penses qu’à toi. Tu me fais du mal. Moi aussi je n’ai rien oublié. Je ne pouvais rien faire, je te le répète. C’est papa qui décidait. C’est papa qui avait le Pouvoir sur toi et sur moi. Lorsque j’ai compris qu’il allait te vendre, j’ai essayé de l’arrêter, je l’ai imploré, mais je n’ai reçu que des coups pour avoir osé le contrarier. Des coups et pire encore. Tu n’as pas idée de l’enfer qui a été le mien. Pendant que des étrangers te faisaient souffrir, moi c’était mon propre père qui me torturait.  Que pouvais-je faire ? Comme toi, je n’étais qu’une enfant. En fait papa nous a privé de notre enfance et a fait de nous des ennemis. Papa a gagné.  Et puis, souviens-toi, c’est quand même bien moi qui suis venue te chercher pour te sauver.
  • C’était déjà trop tard et ensuite, c’est bien toi aussi, qui m’a ramené chez mes bourreaux.
  • Non, ce n’est pas moi. C’est papa et j’ai dû obéir. J’ai été punie sévèrement pour t’avoir fait évader. Il m’a enchaînée dans la cuisine pendant tout un mois ! Peux-tu seulement t’imaginer ce que j’ai subi ?
  • Tu mens pour m’attendrir. Tu savais que ces salauds m’utilisaient pour leurs expériences… Je n’étais rien d’autre qu’un cobaye abandonné par les siens, abandonné par toi plus encore que par papa. Et si d’aventures tu dis vrai… et bien ce n’est que justice ! Pour conclure, ma chère, je vais te donner un conseil. Un bon conseil de petit frère… C’est bien ce que tu voulais, non ? Pleurer sur l’épaule d’un frère compréhensif ? Alors écoutes-moi bien. Tu as épousé un alcoolique. C’était ton choix et tu le savais bien avant que ton imbécile d’époux ne vienne se soûler chez moi ! Tu devrais toi aussi te noyer dans l’alcool. Ainsi tu rencontreras vraiment ton mari et tu pourras le rejoindre et l’aimer dans son chagrin… car à mon avis, son chagrin ressemble au tien et l’alcool adoucit tous les chagrins.
  • Pourquoi tu dis ça ?  Je n’ai pas de chagrin. Comment pourrais-je avoir du chagrin alors que je suis déjà morte.
  • Mais bien sûr que tu as du chagrin… tu as un mari qui boit et qui te frappe. Un frère qui te déteste et un père qui est mort en faisant ton malheur…  Tu appelles ça le bonheur toi ?
  • Tu confonds les chagrins, Virgile. C’est du tien que nous devrions parler. Du tien et du mien. De ce chagrin commun qui nous constitue. Ton amertume à mon égard est si forte que tu fais de ton mieux, en quelques soirs par semaine, pour faire de mon mari une loque alcoolisée qui te ressemble. Tu veux détruire ma vie et bousiller mon mari. Vas-y ne te gênes pas. De toute façon, j’ai l’habitude. J’ai subi depuis toujours la tyrannie de mon père, la haine de mon frère et aujourd’hui je dois composer avec le mépris de mon mari. Je m’en vais. Tu as tort de ne pas m’accorder ta confiance. Je suis ta seule famille et à cause de ta rancœur nous serons tous les deux malheureux jusqu’à la mort.

Malgré la proximité de leurs maisons, malgré le jardin et malgré la haie bien aérée… Malgré le trouble de Virgile et malgré la tendresse de Wu, Wu et Virgile ne se sont plus jamais adressé la parole depuis ce jour-là.

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OFFRE deuxième paire

La deuxième paire de verres

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Le jour où je me suis aimé pour de vrai … de Charlie Chaplin

Le blogueur - Le blog du savoir relatif et absolu

Le jour où je me suis aimé pour vrai,
J’ai compris qu’en toutes circonstances,
J’étais à la bonne place, au bon moment.
Et, alors, j’ai pu me relaxer.
Aujourd’hui je sais que ça s’appelle….
Estime de Soi.

Le jour où je me suis aimé pour vrai,
J’ai pu percevoir que mon anxiété et
Ma souffrance émotionnelle,
N’étaient rien d’autre qu’un signal
Quand je vais contre mes convictions.
Aujourd’hui je sais que ça s’appelle…..
Authenticité.

Le jour où je me suis aimé pour vrai,
J’ai cessé de vouloir une vie différente
Et j’ai commencé à voir que tout ce qui m’arrive,
Contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd’hui je sais que ça s’appelle….
Maturité.

Le jour où je me suis aimé pour vrai,
J’ai commencé à percevoir l’abus dans
Le fait de forcer une situation, ou une personne,
Dans le seul but d’obtenir ce que je veux,
Sachant très bien que ni la personne ni moi-même
Ne sommes prêts et que ce n’est pas le moment…..
Aujourd’hui je sais que ça s’appelle….
Respect.

Le jour où je me suis aimé pour vrai,
J’ai commencé à me libérer de tout ce
Qui ne m’était pas salutaire….
Personnes, situations, tout ce qui
Baissait mon énergie.
Au début, ma raison appelait ça de l’égoïsme.
Aujourd’hui je sais que ça s’appelle….
Amour Propre.

Le jour où je me suis aimé pour vrai,
J’ai cessé d’avoir peur du temps libre
Et j’ai arrêté de faire de grands plans,
J’ai abandonné les mégaprojets du futur.
Aujourd’hui je fais ce qui est correct, ce que j’aime,
Quand ça me plait et à mon rythme.
Aujourd’hui je sais que ça s’appelle….
Simplicité.

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé
De chercher à toujours avoir raison, et me suis
Rendu compte de toutes les fois ou je me suis trompé.
Aujourd’hui j’ai découvert…
L’Humilité.

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j’ai cessé
De revivre le passé et de me préoccuper de l’avenir.
Aujourd’hui je vis au présent,
Là où toute la vie se passe.
Aujourd’hui je vis une seule journée à la fois
Et ça s’appelle…..
Plénitude.

Le jour où je me suis aimé pour vrai,
J’ai compris que ma tête pouvait
Me tromper et me décevoir.
Mais si je la mets au service de mon cœur
Elle devient une alliée très précieuse
Tout ceci est….
Savoir Vivre.

Nous ne devons pas avoir peur de nous confronter….
Du chaos naissent les étoiles.
Aujourd’hui je sais que ca s’appelle… La Vie!

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Des webinaires à l’école de PNL de Lausanne

Conférences en ligne (webinaires) à l’école de PNL de Lausanne

Pour la rentrée. L’école de PNL de Lausanne vous propose une nouveauté !

Les webinaires, ou conférences en ligne.

Gratuites, elles traiteront de nombreux sujets.  Vous pourrez participer en posant vos questions, directement aux spécialistes.

Nourrir votre esprit, tranquillement assis derrière votre écran (ordinateur, smartphone ou tablette), dans le train, au bureau ou à la maison, n’est-ce pas une belle façon d’entamer la reprise ?  – replay disponible après la conférence –

Différents thèmes seront abordés tout au long de l’année.

Vous trouverez ci-dessous la liste des premières conférences en ligne.

  1. Voyage au cœur de l’hypnose thérapeutique
  2. La PNL – Des outils complémentaires pour le travail des éducateurs spécialisés.
  3. La PNL – Se comprendre et mieux communiquer avec les autres.
  4. La PNL pour arrêter de subir les conflits familiaux.
  5. Grands changements de vie (travail, lieu, conjoint, etc.), mode d’emploi.
  6. Se positionner et retrouver un équilibre familial avec la PNL.

N’hésitez pas à consulter régulièrement le programme sur la page dédiée au Webinaire de l’école.

Les conférences en ligne de l’école de PNL de Lausanne

Toutes les infos seront également tenues à jour sur les réseaux sociaux de l’école de PNL de Lausanne.

Facebook – Twitter – Google+ – Linkedin

Un joli programme pour une belle rentrée en perspective !

www.pnl-lausanne.com

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Liquidez votre correspondance en attente !

Débordée par courrierVous avez du courrier en retard ?
Vous reportez sans cesse à demain ?
Que votre courrier soit postal ou électronique, Mine de Rien trouvera les mots qui vous manquent.

Vous devez répondre à la gérance, écrire à votre employeur, contacter votre assureur, demander un délai de paiement, écrire à votre «Amoureux (se)», à vos parents, à vos amis…

Quel que soit votre courrier en attente,

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Mine de Rien vous propose

du 1er août au 30 septembre 2016

Une lettre pour 30 francs!

C’est l’occasion de l’écrire enfin cette lettre qui vous prend la tête!

Un souci de moins et le sourire revient !

N’hésitez plus, contactez-nous !  http://mine-de-rien.ch/nous-contacter/

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The Ladies sing & the Collective Cover ont mis le feu au Montreux Jazz Boat.

Superbe concert des Ladies Sing sur le Montreux Jazz Boat

collective cover www.collectivecover.ch

Le 10 juillet 2016 sous un soleil de plomb, Le groupe Ladies sing & the Collective Cover nous ont livré une prestation plus que magnifique !

Sur le pont du Montreux Jazz boat les 4 chanteuses ont donné de la voix devant un publique aussi chaud que le soleil se jour-là.

Un festival de reprises soul, blues et jazz revisitées par Dorothy Vincent, Ornella Jimez, Daphné Zumbrunnen et Angella McFall.

Entre envolées Lyrique, de superbes solos de Saxophone (Xavier Nussbaum) et de Violon (Jemma Pascual Torres) Les rythmes distillés par le percussionniste et batteur Pat Sefolosha ont fait danser le publique tout au long de cette croisière musicale.

Les 4 chanteuses se sont également transformées en choristes pour accompagner le chanteur et guitariste Fred Comte pour deux morceaux aux rythmes endiablé ou le public n’as pas hésité à donner de la voix.

Un joli projet à en devenir quand on sait que ce groupe mené d’une main de maitre par Michel Vernaz (Pianiste) n’existe que depuis 3 mois.

Ceci nous annonce encore d’excellents moments en compagnie des Ladies Sing !

The Ladies sing facebook

http://collectivecover.ch